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Les plus beaux maillots de foot


Le maillot est l’élément visuel le plus important sur un terrain de football. Il différencie les deux équipes qui s’affrontent et symbolise tout un club voire une nation. Depuis l’aube de ce sport, les tuniques ont évolué. Certaines devenant quasi-légendaires en étant associées à de grandes épopées ou d’incroyables joueurs. Aujourd'hui, le maillot est surtout un outil marketing qui joue un rôle dans la popularité du football aujourd’hui. Au PSG par exemple, la vente de maillot représente un peu plus de 50 millions d’euros de recette.

Cette liste est absolument subjective et non exhaustive.

PSG x Jordan LDC 2018-2019 

En 2018, le PSG et le GOAT du Basket passent un accord commercial pour exporter la marque parisienne en Amérique. Résultat de cette collab’, un maillot noir et un blanc, prêt pour aller loin en LDC (lol). Voir le Jumpman sur un maillot de football a quelque chose d’inédit et de tellement cool. Le style n’est pas extravagant mais terriblement efficace. Une frappe de Paname


France extérieur 2006

La Coupe du Monde 2006 est un traumatisme pour beaucoup. La défaite est amère, mais le parcours est réalisé avec style, et pas que balle au pied. Le maillot blanc est tout simplement légendaire, dernière tunique du grand Zizou et simplement magnifique avec son drapeau tricolore sur le ventre. Le chauvinisme a du bon


Manchester United domicile 2008


Selon moi le plus beau (sans aucune objectivité). Tout y est, un rouge éclatant, un sponsor qui se marie parfaitement avec le reste (pas comme cet horrible logo Chevrolet). Les deux lignes dans le dos, les manches longues de Ronaldo. Je perds mon latin face à ce bijou. Comme quoi la sobriété fonctionne aussi. Le parcours de Manchester United cette année là et la classe de ses joueurs auront fait le reste de ce maillot légendaire


Barça 2005 domicile

Pas de sponsor, des bandes blaugranas verticales, le logo Nike et le blason du Barça, point. Aucun zèle sur ce maillot, tout le contraire des joueurs qui le portaient. Ronaldinho et Eto'o entre autres se sont chargés d’écrire sa légende. Une année pleine et un maillot tout ce qu’il y a de plus classique en Catalogne. Mais le meilleur des classiques.


Brésil domicile (à peu près tous)

La tunique auriverde est un symbole du football. Le Brésil à lui tout seul, c’est le football. Il faut rendre à César ce qui est à César. Le maillot de la Seleçao, quelle que soit l’époque, à quelque chose de spécial. Outre les couleurs jaune et verte qui se marient parfaitement bien et qui donnent ce côté étincelant à la tunique, c’est l’héritage de tous les grands joueurs brésiliens qui donnent à ce maillot une aura si particulière. Une relique dans un pays où le foot est religion.


Ajax domicile 2015 à 2020

Depuis l’arrivée du sponsor Ziggo en 2015, les tuniques ajacides sont, à quelques détails près, les mêmes chaque saison. Et c’est très bien comme ça, pourquoi changer une beauté pareille. La bande rouge sur fond blanc signature du club amstellodamois reconnaissable entre mille suffisent à donner ce soupçon d’originalité dans un monde où les maillots ont à peu près tous le même design.


Argentine domicile 1986

Le maillot de Maradona, avec le 10 dans le dos cette tunique fait gagner 10 points de charisme. Rien de spécial au niveau du design, les bandes bleu clair et blanche comme sur tous les maillots argentin. Mais c’est celui-ci que je retiens quand je pense à l’Argentine. Peut-être que le logo coq sportif fait la différence.


Real Madrid domicile 2015-16

Les maillots du Real ne changent jamais beaucoup. Ce sont souvent les bandes Adidas qui changent de couleur : bleu, noir, or (c’était horrible), en 2015, c’est au tour du gris d’être expérimenté. Plus discret, le gris clair s’associe parfaitement bien au blanc immaculé des merengues. De plus, la coupe du maillot épouse parfaitement le corps, qui donne même l’impression que Modric est musclé. Magnifique. Ajoutez à cela les manches longues et vous obtiendrez un combo classe + charisme ravageur qui mènera tout droit vers une LDC de plus dans la besace.


Eliot POUDENSAN



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